BIENVENUE SUR NOTRE SITE !
Nous sommes un duo originaire du beaujolais.
Notre leitmotive ? Une pop-folk brute et énergique pour un voyage autour d’émotions universelles.
Guitare acoustique et batterie mettent en couleurs nos textes dépeignant une vision, parfois joyeuse, parfois inquiète du monde qui nous entoure, toujours avec bienveillance.
Pourquoi "OUVERT LE DIMANCHE" ?? Parce que le bar de Mamie ouvrait parfois le dimanche autrefois et que c'était sympa !
POUR NOUS ECOUTER SANS MODERATION, IL SUFFIT DE CLIQUER LA DESSOUS :
ET AU FAIT DE QUOI ELLES PARLENT NOS CHANSONS ?
REFLEXION
Si on pouvait se rappeler
De tout ce qu’on a raconté
Toutes les conneries d’une vie
A chaque soirée arrosée
On aurait dû enregistrer
Nos moments de philosophie
Assurément On n’est pas
Les plus intelligents, les plus intelligents,
Assurément On n’a pas
Perdu notre temps, pas perdu notre temps
A force de refaire le monde
Entre deux blagues de blonde
On a eu la révélation
Et si pour l’espace d’une seconde
On oubliait que la terre est ronde
Faudrait revoir nos conclusions
Assurément On n’est pas
Les plus intelligents, les plus intelligents,
Assurément On n’a pas
Perdu notre temps, pas perdu notre temps
Au fond on aime assez l’idée
Que les choses vont s’arranger
Qu’il reste une chance après tout
La réflexion du mec bourré
Faut la prendre au premier degré
Leur laisser une chance après nous
LEON
Ce soir Léon il est rentré plus tôt. On ne voulait plus d’lui à son boulot. Faut dire qu’Léon il s’met pas la pression. Il n’aime pas trop se poser de questions. Il aimerait bien faire le tour du monde. Un long voyage ou une vie vagabonde. C’est sûr un jour il vendra sa maison. Il choisira un pays par saison
Ce soir Léon sort au bar chez Mamie. Il va en parler à tous ses amis. Faut dire qu’Léon il aime bien la pression. Mais quand il boit il devient vite con. Alors plus personne ne l’écoute vraiment. Tout le monde se marre Léon il est content. Il voudrait que ça dure toute la vie. Alors pour ça il s'recommande un demi.
Aujourd’hui Léon il a bien vieillit. Mais il l’a eu son coin de paradis. Faut dire qu’Léon après s’être fait viré. N’avais jamais oublié son idée. Il est parti sans le dire à personne. Au bar c’est sûr on s’ennuie de lui. Encore écoutes ses paroles qui résonnent. Demain les amis je serai parti
OBLIGE DE CHANGER
On est là, à se demander ce que le monde
Nous réserve, dans un an, dans quelques secondes
On voit bien, que la terre tourne à l’envers
Oui mais toi, moi, qu’est-ce que l’on peut bien y faire ?
On est là, et on voit que partout dans le monde,
Des gens rient, des gens pleurent, pleurent à chaque seconde
On sait bien, que même si tout le monde s’y mettait
On l’aura jamais, notre petit monde parfait.
Mais on peut si tu veux essayer de l’améliorer
Les images, les couleurs, tout redessiner
Mais on peut si tu veux si t’y crois tout recommencer
Pour un monde plus léger, obliger de changer
On est là, à chercher une suite à l’histoire
Toi et moi, même si ça parait dérisoire
Je n’suis pas, militant pour autant mais pourtant
Le temps passe… Et lentement nos enfants
Innocents, se demandent bien aussi pourquoi
Pourquoi, tout ne va pas, dis-moi papa ?
Comment ça s’fait, que les grands vous avez laissé faire ?
Que la terre a mal, est ce que c’est volontaire ?
Mais on peut si tu veux essayer de s’améliorer
Les images, les couleurs, tout redessiner
Mais on peut si tu veux si t’y crois tout recommencer
Pour un monde plus léger, obliger de changer
Pour pouvoir les regarder dans les yeux
Pour se dire que l’on a fait de son mieux
Et si pour ça, toi et moi on doit tout recommencer
Pour un monde plus léger, obliger de changer
MON AMOUR
On soupire à côté de moi, ça va commencer je crois. Je fais semblant de ne pas voir, mon amour bouger dans le noir. Elle a entendu le réveil, qui n’avait pas sonné. Tous les samedis c’est pareil, on l’avait débranché. J’veux m’en aller, dans les étoiles avec toi. J’irais bien te décrocher, ta p’tite lune qui brille là-bas. On prendra la navette, et depuis notre orbite. Ma pluie de météorite, fera scintiller ta planète. Le weekend en amoureux, ça commence en général. Par un saut bien périlleux, une galipette conjugale. Il va falloir être fort, si elle en redemande encore. Si t’es déjà à plat, essayes le viagra. La gymnastique terminée, il faut reprendre le dessus. Ses politesses réciter, ou bien tout sera perdu. Il faut bien choisir tes mots, tout faire pour lui plaire. Si tu veux être son héro, Travailles ton vocabulaire.Le weekend en amoureux, ça commence en général. Par un saut bien périlleux, une galipette conjugale. Il va falloir être fort, si elle en redemande encore. Si t’es trop fatigué, reprends un comprimé. Elle a dû se préparer, depuis des années. Et aller à l’école des femmes, ou ils leur enseignent l’infâme. Technique de séduction, pacte avec Cupidon. Et nous maris démunis, On se retrouve dans leur lit.Le weekend en amoureux, ça commence en général. Par un saut bien périlleux, une galipette conjugale. Il va falloir être fort, si elle en redemande encore. Jamais deux sans trois, vive le viagra.
OUVERT LE DIMANCHE en concert c'est un peu plus d'une heure d’énergie brute et plusieurs couleurs acoustiques : Rock, balade, folk, manouche pour un voyage bienveillant autour d’émotions universelles.
INGENIEUR COMPUTER
Pacifiste au quotidien, certains sujets me fâchent. Ni grand ni petit ni rien, c’est sur la forme que je me détache. Bilan économico logique catastrophique, jamais trop tôt, jamais trop tard. A la télé le grand débat politique, Jean Pierre Marielle est mort ce soir.
Mais que nous reste-t-il ? Notre fragilité, Géants de pacotille, nous voilà rassurés. Mais que nous reste-t-il ? En toute simplicité, on a perdu le fil, de notre humanité.
Les yeux rivés sur nos écrans, ingénieurs computer. La société à cran, les réseaux sont en pleurs. Encore un like suite à ton dernier commentaire, la culture de l'image. Ne rien faire avant de se taire, le partage à son avantage.
Mais que nous reste-t-il ? Notre fragilité, Géants de pacotille, nous voilà rassurés. Mais que nous reste-t-il ? En toute simplicité, on a perdu le fil, de notre humanité. Mais que nous reste-t-il ? De lucidité, pour retrouver le fil...De notre humanité
CHEZ MAMIE
C’était un endroit populaire, ordinaire
Son bar elle en était supère fière, ma grand-mère
Là-bas tu pouvais t’arrêter, toute la journée
Boire un petit coup, manger ses plats cuisinés
Nous on l’appelait chez Mamie
Son vrai nom c’était chez Maggie
En plein milieu du village
Pour tous les gens de passage
C’était un endroit tout petit, bien rempli
Y avait plein d’monde tous les midis, chez Mamie
Comptoir en bois, tout le reste en formica
Et pour le tiercé, une ardoise avec les résultats
Parfois elle ouvrait le dimanche
Mais Maggie en revanche
Elle n’aimait pas se laisser faire
Elle était super forte en affaires
Qu’est-ce que je ne donnerais pas aujourd’hui
Pour qu’on aille trinquer chez Mamie
On pourrait tous lever nos verres
Maggie stp remets nous une bière
Ce petit bar au bou de la rue, n’existe plus
Maggie un jour, elle a tout vendu
Reste que les murs, perdues les clés des serrures
Le temps passe trop vite, c’est sûr, mais quelle aventure
En tout cas des endroits comme ça
On en voit pas qu’au cinéma
Et tout autour de la planète
On continue à faire la fête